JERUSALEM (Reuters) – L’élection en Iran de l’ultraconservateur Ebrahim Raïssi doit servir de dernier avertissement au monde et aux nations qui négocient la relance de l’accord encadrant les activités nucléaires de Téhéran, a déclaré dimanche le Premier ministre israélien, Naftali Bennett, dans des propos rapportés par le site d’information Ynet.
Ultrationaliste et partisan d’une ligne dure à l’égard du régime iranien, le chef de l’exécutif israélien n’entend pas dévier de la ligne adoptée par son prédécesseur Benjamin Netanyahu qui n’a eu de cesse de fustiger la signature en 2015 de l’accord de Vienne, dont Téhéran s’est affranchi depuis que les Etats-Unis s’en sont retirés.
Depuis l’élection de Joe Biden, la diplomatie américaine négocie le rétablissement de cet accord que le nouveau président iranien Ebrahim Raïssi espère voir rétabli afin que soient levées les sanctions économiques qui asphyxient l’Iran.
(Dan Williams ; version française Nicolas Delame)
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